Oui courage et surtout tiens bon, ne flanche surtout pas. Plus on se sent atteint par les gens et plus il est compliqué de lacher prise (j'ai remarqué que parfois, plus on se sentait victime d'injustice et plus on s'accrochait à rétablir notre vérité, une sorte de syndrome de la victime consentante). Bref, pour en finir avec ma psycho de comptoir, je t'accroche un fil à la patte et tire dessus pour te retenir, quitte à attendre que les choses se tassent (ou pas)...